Et si vous preniez chaque jour 5 minutes pour enfin faire briller ce copywriter flamboyant que vous êtes ?
Who We Are
Avant juin 2020, je ne savais même pas que je voulais lancer un podcast. Encore moins un que j’allais publier tous les jours pendant 365 jours.
Parce que j’étais quelqu’un de passif, qui s’entousiasmait vite et tout retombait comme un soufflet rapidement.
Mais voilà.
Cet enchaînement d’évènements a tout changé :
- Je lis “The miracle Morning”
- Je découvre Gianni Bergandi
- Je décide de copier son défi (avec quelques variations bien sûr) et de l’appliquer à mon domaine de prédilection.
Parce que je me suis rendu compte sur LinkedIn et Facebook que les conseils des copywriters (comme je l’ai fait également) sont souvent les mêmes.
Parce que les podcasts sont quasi-exclusivement anglophones, donc ils excluent une bonne partie des francophones.
Parce que ces podcasts sont souvent des itws et je souhaite proposer quelque chose de plus condensé (5 minutes par épisode).
Et parce que plus nous serons de bons copywriters (en copiant nos aïeux), mieux nous serons considérés.
La voix derrière le micro
Ok, déjà sache que j’ai opté pour le podcast non pas parce que je déteste mon visage (je viens de lire qu’un cerveau en bonne santé fait disparaître les imperfections) mais bien pour deux autres raisons :
- C’est pratique et au rythme d’un épisode par jour, je gagne du temps
- J’ai travaillé en radio et la voix, ça ne ment pas, donc j’aime ça.
Justement, en parlant de radio. J’étais journaliste chez Radiofrance. Mais en toute honnêteté, j’étais plutôt mauvais. Et en fait, j’ai compris pourquoi.
Je n’ai jamais aimé l’actualité.
J’ai pris beaucoup de recul là-dessus et à mon humble avis, ce n’est qu’une source de distraction (pour l’info chaude surtout) qui n’apporte rien de bien.
J’ai quand même appris deux trois trucs qui me servent aujourd’hui. Notamment pour interviewer.
La biographie !
J’ai 30 ans, j’ai rencontré ma femme complètement bourré dans un bar de Montpellier (Je ne bois quasiment plus maintenant). Grâce à quelques pas de danses bien sentis, ma brésilienne et ancienne danseuse professionnelle n’a pu résister.
Je n’ai plus jamais dansé devant elle depuis ce jour.
Mais elle a trouvé la force de m’aimer et je lui ai accordé un enfant (en fait c’est moi qui ai demandé) et Maïté est né.
J’ai vécu dans plusieurs pays, eu plusieurs types d’emplois différents. Mais comme je le répète, elle est ma plus grande aventure et c’est cliché mais temps pis, ma plus belle réussite.
Si tu veux me rencontrer et que tu habites Montpellier, c’est plus simple. On peut se faire un tennis, ou n’importe quel sport d’ailleurs.
Sache que je me couche à 22h maximum.
Monte à bord, moussaillon !
Si tu rejoins notre contingent d’aventuriers/pirates des mots, je te donne l’accès au trésor caché.
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